Mila Lolli (NFTUK) : “Seule l’acculturation peut faciliter l’adoption des cryptos”

Fondatrice de NFTUK, Mila Lolli organise des événements et conférences au Royaume-Uni pour accélérer la démocratisation du Web3. Nous l’avons rencontrée à Londres.
The Big Whale : Quand on s’intéresse au Web3 au Royaume-Uni, on tombe sur quelques organisations comme NFTUK. Quel est votre rôle ?
Mila Lolli : J’ai voulu créer NFTUK, où je suis à temps plein, pour permettre à tous ceux qui s’intéressent aux cryptomonnaies, aux NFTs, au métavers et à tous les sujets liés au Web3 de pouvoir se réunir, se former, bref progresser !
Avec quelques bénévoles, nous organisons des conférences, des meet-ups. Chaque mois, nous organisons un événement, la plupart du temps à Londres, où il y a des centaines de personnes qui viennent. Beaucoup pensent qu’ils sont seuls à s’intéresser à ces sujets, mais ce n’est pas le cas.
Pourquoi avoir choisi de vous appeler NFTUK ? Cela donne l’impression que vous ne parlez que des NFTs…
C’est effectivement un point. Quand nous avons créé l’organisation, nous nous sommes dits que les NFTs étaient une excellente porte d’entrée sur le Web3. Beaucoup de gens en ont déjà entendu parlé. Les NFTs sont objectivement l’une des meilleures portes d’entrée à la fois marketing et dans l'usage pour faire de la pédagogie sur tous les autres sujets, et notamment les cryptos et la finance décentralisée.
Avant d’investir dans un produit, l’investisseur doit comprendre entièrement les risques et consulter ses propres conseillers juridiques, fiscaux, financiers et comptables.


